Faculté d’ingénierie de Concordia : une approche terrain et inclusive

Pourquoi choisir l’École de génie et d’informatique Gina-Cody de l’Université Concordia? Deux récentes diplômées expliquent leurs motivations et offrent quelques conseils.

« J’ai découvert Concordia lors d’une soirée universitaire à mon école secondaire, explique Sierra Campbell, originaire de Toronto. J’ai rapidement vu que l’école offrait un programme coop, et c’est exactement ce que je cherchais : une expérience pratique, en milieu de travail, pendant mon cursus scolaire, et la possibilité d’établir des contacts dans le cadre de mes études. »

Elle ajoute qu’elle a tout simplement adoré la vie à Montréal, qu’elle qualifie de formidable ville étudiante. « Je me suis constitué un solide groupe d’amis et je me suis bâti mon propre réseau d’entraide, dit-elle. J’étais loin de la maison, et ça m’a aidé à acquérir mon indépendance, avec l’aide de mon entourage. Concordia présente une très belle culture étudiante et un sens exceptionnel de la communauté. »

Sierra Campbell a réalisé rapidement la force de l’École sur le plan de la recherche. Pendant ses études, elle a bénéficié de bourses et a côtoyé de près les professeurs-chercheurs. « J’ai participé à des travaux sur les cycles de gel-dégel dans le Grand Nord québécois et j’ai interagi avec des étudiants en maîtrise et au doctorat, dit-elle. Je me suis aussi investie dans les organisations étudiantes. »

Elle s’est ainsi impliquée pendant trois ans au sein de l’association étudiante de l’École et a siégé à plusieurs comités universitaires, ce qui lui a permis d’entrer davantage en relation avec ses pairs. En pleine pandémie de COVID-19, elle a pu approfondir des techniques d’apprentissage en ligne en compagnie du corps professoral.

Elle considère Gina Cody, qu’elle a rencontrée durant sa première année d’études, comme une mentore. « Concordia s’est faite championne de la présence des femmes en génie, ajoute-t-elle. Cette place va au-delà de l’École. On y élabore des stratégies pour développer nos carrières au sein de l’industrie. »

Grâce à l’École, Sierra Campbell a pu, pour faire avancer sa carrière, tirer avantage de l’appui de ces personnes qui l’ont guidée et, depuis quelques mois, elle travaille à plein temps dans son domaine chez un transporteur ferroviaire de Montréal. « Grâce à l’École, j’ai développé mes habiletés au-delà des salles de cours : c’est une expérience de vie complète », constate-t-elle.

Elle recommande chaudement aux étudiants et étudiantes qui entrent à l’université de s’investir dans les nombreux clubs de l’École, qui permettent de développer une expérience pratique qui va au-delà de la théorie.

Expérience transformatrice

Shannon Yearwood est partie de Trinidad pour venir étudier à Concordia. 

« Le programme coop de l’École permet de vivre une expérience de travail tout en poursuivant ses études, et Montréal est une des meilleures villes universitaires du monde; une ville sécuritaire. C’est ce qui m’a séduite », révèle-t-elle.

Même si Concordia est une université plus jeune en comparaison à d’autres en Amérique du Nord, elle considère de première importance son approche, qui est plus pratique. Elle retient que le programme de génie est tourné vers des expériences concrètes, de terrain. Elle insiste sur l’importance du programme coop, qui ouvre littéralement la porte du marché du travail.

Shannon Yearwood s’est grandement plu comme étudiante à l’École : « Surtout grâce à la population étudiante, qui est très diversifiée. Avant d’arriver, j’étais nerveuse à l’idée de pouvoir m’intégrer. Je n’ai jamais senti de résistance, au contraire! J’ai notamment apprécié mes professeurs, qui sont expérimentés et très disponibles. Ils répondent rapidement aux demandes. Étudier à Concordia est une expérience transformatrice. »

D’autant plus que l’École entretient des liens étroits avec l’industrie. « J’ai eu la chance de travailler en intelligence artificielle avec un professeur qui faisait de la recherche dans ce domaine, ajoute-t-elle. C’était très excitant. Ce n’étaient pas des notions vieilles de 10 ans! Je travaillais avec des notions dont je pourrai me servir dès l’obtention de mon premier emploi. »

Shannon Yearwood a pu constater que ses pairs vivaient tous une grande excitation et fierté relativement à leurs études à Concordia. Elle suggère à ceux et celles qui commencent leurs études dans l’établissement de rapidement s’engager dans les clubs et associations étudiantes pour vivre des expériences concrètes et relever des défis formateurs.

« S’impliquer de la sorte facilite notre cheminement, renchérit-elle. On établit ainsi des liens avec des gens avec qui on partage des acquis intéressants. C’est ce qui rend le cheminement universitaire si spécial. »

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